L’origine du hockey est une question très controversée. Cependant, le Canada est considéré comme le berceau du hockey. Les Canadiens avaient l’habitude d’attacher des coupe-fromages à leurs bottes et de jouer au hockey sur les rivières et les lacs gelés. En 1875, le premier match de hockey a eu lieu, chaque équipe étant composée de 9 personnes. En 1877, les 7 premières règles du hockey ont été élaborées par des étudiants. Mais déjà en 1866, les règles ont été modifiées et le nombre de joueurs a été réduit à 7 par équipe. En 1890, un championnat à quatre équipes a été organisé. Le hockey est rapidement devenu populaire. La première équipe professionnelle a été formée dès 1904.
Le hockey est un sport collectif sur glace entre deux équipes de patineurs qui, en se passant le palet avec leur canne, essaient de le lancer le plus souvent possible dans le but de l’adversaire et de ne pas le laisser entrer dans le leur. L’équipe qui a marqué le plus grand nombre de buts contre l’adversaire gagne.
Équipement
patinoire de hockey
rondelle
bâtons
Règles
Les matchs de hockey sur glace sont arbitrés par un panel de trois ou quatre arbitres. Un ou deux arbitres sont appelés arbitres de tête et les deux autres arbitres sont appelés arbitres de ligne. Les arbitres sont chargés de contrôler les fautes de jeu et les buts. Les juges de ligne sont responsables du suivi des hors-jeu, des remises en jeu, des infractions personnelles et des remises en jeu.
En plus des arbitres sur la glace, une équipe d’arbitres est présente à chaque match.
Pousser un adversaire (ainsi que pousser avec la crosse et bousculer sur la planche), attaquer un joueur qui n’est pas en possession du palet (les techniques de jeu en puissance ne peuvent être utilisées que lorsqu’un joueur est en possession du palet, en ne faisant pas plus de deux pas vers lui), attaquer le gardien de but même s’il est loin du but, faire trébucher, tenir l’adversaire avec les mains, piéger, attaquer par derrière. Frapper un adversaire (coude, genou, etc.), jeu dangereux avec la crosse levée haut (c’est-à-dire au-dessus de la hauteur des épaules), frapper avec la crosse, jouer également avec une crosse cassée ou de taille non standard, tenir le palet avec les mains, tomber intentionnellement sur le palet, y compris le gardien de but s’il se trouve en dehors de l’enceinte du but, violation de la procédure de remise en jeu ou de changement de ligne. Retarder le jeu (jeter intentionnellement le palet hors de la patinoire, déplacer le but, etc.), jeter la crosse sur la glace pour gêner un adversaire, jeu déloyal et bagarre, comportement antisportif et indiscipliné (le joueur simule un « plongeon » ou un « poisson », défie l’arbitre, interfère avec ses actions, utilise un comportement abusif, etc.) Pour certaines infractions aux règles, la sanction peut être différente en fonction de la situation de jeu par l’arbitre principal, par exemple si l’infraction était délibérée ou non, quel est le degré de responsabilité du joueur pour avoir pris part à la bagarre, etc.
Les règles prévoient les sanctions suivantes :
petite pénalité ;
une pénalité de banc mineure ; et une pénalité majeure ;
une sanction disciplinaire avec droit de substitution ;
une pénalité pour le reste du match (avec le droit d’être remplacé après 5 minutes) ;
un tir de pénalité.
Un joueur de hockey sanctionné par une pénalité mineure est retiré de la patinoire pendant 2 minutes et ne peut être remplacé par un autre joueur pendant cette période. En cas d’infraction, le gardien de but n’est pas expulsé, la sanction est purgée par un joueur de champ. L’équipe est en infériorité numérique. Le joueur pénalisé peut retourner sur la patinoire plus tôt si l’équipe adverse parvient à obtenir un avantage numérique. Si un joueur de banc ou un joueur pénalisé gêne les arbitres ou interfère avec le jeu, il peut être pénalisé d’une pénalité mineure. Si une telle infraction est commise par un joueur de hockey pénalisé, un des joueurs présents sur la patinoire doit quitter la patinoire. Une pénalité de banc mineure ne doit pas être imposée à un joueur spécifique, mais à toute l’équipe pour une infraction générale, par exemple une infraction numérique, une infraction relative à l’équipement ou pour une infraction directe commise par le coupable, qui ne peut être identifié, par exemple pour avoir jeté un objet sur la glace depuis le banc. Dans ce cas, l’entraîneur désigne un joueur, qui sera pénalisé par une petite pénalité, à l’exception du gardien de but.
La première pénalité majeure entraîne une suspension de 5 minutes sans droit de remplacement. Une pénalité majeure répétée au cours d’un même match entraîne automatiquement la suspension du joueur pour le reste du match, et son équipe jouera 5 minutes au banc des pénalités. Pour un comportement indiscipliné, un joueur de hockey, à l’exception du gardien de but, peut être suspendu pendant 10 minutes avec le droit d’être remplacé. Une pénalité disciplinaire répétée devient une pénalité disciplinaire pour le reste du match. Un joueur de hockey expulsé avant la fin du match doit être envoyé au vestiaire. Il ne sera pas autorisé à continuer à jouer jusqu’à ce que son comportement ait été discuté avec l’organisation responsable du jeu. Les sanctions disciplinaires offrent le remplacement du joueur pénalisé.